IL FAUT PUNIR MACKY SALL
Mr Macky Sall, c'est bien connu, est un menteur patenté, un fieffé bonimenteur c'est reconnu: il vient de démontrer à la face du monde politique et devant les électeurs sénégalais son audacieuse habileté à subvertir la vérité et à corrompre la réalité.
Cet esprit retors vient d’annoncer dans les médias la présence de mercenaires étrangers (Ivoiriens, Guinéens, sierra Léonais, Bissau-guinéens, etc.) qui seraient, selon ce perfide, recrutés par le régime en place afin de s’en prendre aux acteurs de la société civile, aux leaders de l’opposition, à leurs biens ainsi qu’aux membres de leurs familles.
Mr Macky Sall revient, ainsi, à la charge après avoir appelé, ouvertement, à la désobéissance civile et menacé d'installer un gouvernement parallèle quelques mois auparavant. Cette fois, ce poltron irresponsable, tente d’installer la peur et l’anxiété au sein de la population hypothéquant ainsi leurs vies ainsi que celles d’étrangers paisiblement installés chez nous depuis des lustres.
Au nom de quels intérêts égoïstes, cet accident de l’évolution politique sénégalaise, nous expose-t-il au chaos et à la désolation ?
Les réminiscences pressantes d’une gloire aussi fugace qu’imméritée sont elles tellement puissantes, chez cet hypocrite, au point qu’aucune limite n’est plus tolérée ou admise pour pondérer les ambitions pathogènes de l’homme ?
Rien ne compte plus aux yeux de Macky que sa propension destructrice à vouloir, fut il au prix d’une guerre civile, se venger de ses anciens compagnons.
L’instrumentalisation d’une fausse injustice dont il serait victime ne le prédispose plus à rester dans les proportions du raisonnable et de l’acceptable.
Macky a vécu tellement mal son limogeage de la présidence de l’Assemblée Nationale qu’il est aujourd’hui prêt à faire feu de tout bois.
Le Sénégal et les sénégalais ne sont et ne seront le fagot de bois ou le bois mort d’aucun homme politique surtout ceux qui ne sauraient, en aucune façon, se soustraire au passif de l’alternance politique au Sénégal
Si l’honnêteté d'Idrissa Seck le conduit à revendiquer et à se prévaloir sans complexe d’être l’actionnaire majoritaire au Pds, la malhonnêteté et la roublardise de Macky (bien qu'étant incontestablement, pour sa part, le légataire, bénéficiaire et attributaire le plus gâté et le plus doté de l’alternance), ne le prédisposent pas à assumer sa part dans la redistribution des dividendes de l'alternance aux membres de cette formation politique.
Ce géologue, sans qualification, métamorphosé en « politicien d’appoint » a su, plus que quiconque, tirer profits et promotion de la répartition des dividendes du « Sopi ».
L’homme est passé, en un temps record, par toutes les stations possibles et imaginables de l’échelle des dignités de l’Etat. Et il ne tient, en fait, ce capital politique que de par une seule, unique et exclusive prédisposition celle d’être « serviable et corvéable » à souhait.
On se souvient encore de ce "coutumier des faits" comme « le gourdin » dont se servait le régime pour s’en prendre à ses adversaires: nous gardons, frais dans nos mémoires, les attaques virulentes contre le grand Maodo Mamadou Dia et les assauts répétés et déloyaux contre son ancien patron Idrissa Seck.
Cet homme pâteux, dépourvu d’idées, sans aucune vision politique, à l’esprit aussi desséché qu’infertile est aujourd’hui entre les mains de conspirateurs obscurs et tentaculaires, d’un groupe ou groupuscule qui ne dit pas son nom aux ambitions hégémoniques et révolutionnaires, d’une Alliance pour l’avènement d’une hypothétique Renaissance destructrice de l’unité nationale et de l’intégrité territoriale.(A: Alliance; P: ?; R: renaissance)
Ce nostalgique des allées aseptisées du pouvoir est aussi dangereux qu’incompétent : un mythomane doublé d’un pyromane. Il est évident que ce cocktail ne peut être qu’explosif pour l’unité nationale.
Ses déclarations incendiaires visent à semer le doute et la confusion au sein de la population sénégalaise afin de plonger le pays dans un chaos indescriptible ; et si le gouvernement n’y prend garde on basculera très vite dans l’anarchie et la désolation.
La loi doit sévir dans toute sa rigueur contre des agissements dont la seule finalité est de discréditer notre valeureuse armée nationale, de braquer les populations les unes contre les autres, d’instaurer un faux sentiment de persécution dans l’espoir de s’attirer la sympathie d’une frange bien ciblée de la population.
L’Etat est sommé de prendre ses responsabilités afin d’éviter à notre pays les risques qui sont attachés à l’instauration d’une ambiance de pré campagne où la méfiance et la défiance sont érigées en règles d’action politique par excellence.
Les allégations de Macky sont constitutives d’infractions pénales : Incitation à la xénophobie, désobéissance civile ainsi que celle de diffusion de fausses nouvelles dans le but d’instaurer la psychose au sein de la société sénégalaise en une période d’excitation politique exacerbée.
L’Etat à l’obligation de mettre fin aux agissements d’un homme pour qui rien ne compte que le besoin d’assouvir sa soif de vengeance mais il a surtout le devoir de rappeler à l’ordre démocratique et républicain que personne et à aucun moment ne peut se soustraire à la souveraineté de loi et au respect de la tranquillité publique.
Si la non observation de ses exigences est constitutif de délit, il faudrait, donc sans faiblir, punir le plus grand légataire (bénéficiaire) universel de l’alternance (PGLUA) : Macky Sall.
Si l’Etat pour des raisons de commodités bien compréhensibles ne s’y attelle pas, les électeurs sénégalais, dans un sursaut d'unité et de patriotisme devront sévir avec une extrême sévérité afin de ne pas laisser impuni le délit de diffusion de fausses nouvelles dont s'est rendu coupable le chef de l'APR.
Ce sera le lieu de prouver à toute la classe politique que le peuple n’est ni bête ni frappé d’amnésie.
Cet esprit retors vient d’annoncer dans les médias la présence de mercenaires étrangers (Ivoiriens, Guinéens, sierra Léonais, Bissau-guinéens, etc.) qui seraient, selon ce perfide, recrutés par le régime en place afin de s’en prendre aux acteurs de la société civile, aux leaders de l’opposition, à leurs biens ainsi qu’aux membres de leurs familles.
Mr Macky Sall revient, ainsi, à la charge après avoir appelé, ouvertement, à la désobéissance civile et menacé d'installer un gouvernement parallèle quelques mois auparavant. Cette fois, ce poltron irresponsable, tente d’installer la peur et l’anxiété au sein de la population hypothéquant ainsi leurs vies ainsi que celles d’étrangers paisiblement installés chez nous depuis des lustres.
Au nom de quels intérêts égoïstes, cet accident de l’évolution politique sénégalaise, nous expose-t-il au chaos et à la désolation ?
Les réminiscences pressantes d’une gloire aussi fugace qu’imméritée sont elles tellement puissantes, chez cet hypocrite, au point qu’aucune limite n’est plus tolérée ou admise pour pondérer les ambitions pathogènes de l’homme ?
Rien ne compte plus aux yeux de Macky que sa propension destructrice à vouloir, fut il au prix d’une guerre civile, se venger de ses anciens compagnons.
L’instrumentalisation d’une fausse injustice dont il serait victime ne le prédispose plus à rester dans les proportions du raisonnable et de l’acceptable.
Macky a vécu tellement mal son limogeage de la présidence de l’Assemblée Nationale qu’il est aujourd’hui prêt à faire feu de tout bois.
Le Sénégal et les sénégalais ne sont et ne seront le fagot de bois ou le bois mort d’aucun homme politique surtout ceux qui ne sauraient, en aucune façon, se soustraire au passif de l’alternance politique au Sénégal
Si l’honnêteté d'Idrissa Seck le conduit à revendiquer et à se prévaloir sans complexe d’être l’actionnaire majoritaire au Pds, la malhonnêteté et la roublardise de Macky (bien qu'étant incontestablement, pour sa part, le légataire, bénéficiaire et attributaire le plus gâté et le plus doté de l’alternance), ne le prédisposent pas à assumer sa part dans la redistribution des dividendes de l'alternance aux membres de cette formation politique.
Ce géologue, sans qualification, métamorphosé en « politicien d’appoint » a su, plus que quiconque, tirer profits et promotion de la répartition des dividendes du « Sopi ».
L’homme est passé, en un temps record, par toutes les stations possibles et imaginables de l’échelle des dignités de l’Etat. Et il ne tient, en fait, ce capital politique que de par une seule, unique et exclusive prédisposition celle d’être « serviable et corvéable » à souhait.
On se souvient encore de ce "coutumier des faits" comme « le gourdin » dont se servait le régime pour s’en prendre à ses adversaires: nous gardons, frais dans nos mémoires, les attaques virulentes contre le grand Maodo Mamadou Dia et les assauts répétés et déloyaux contre son ancien patron Idrissa Seck.
Cet homme pâteux, dépourvu d’idées, sans aucune vision politique, à l’esprit aussi desséché qu’infertile est aujourd’hui entre les mains de conspirateurs obscurs et tentaculaires, d’un groupe ou groupuscule qui ne dit pas son nom aux ambitions hégémoniques et révolutionnaires, d’une Alliance pour l’avènement d’une hypothétique Renaissance destructrice de l’unité nationale et de l’intégrité territoriale.(A: Alliance; P: ?; R: renaissance)
Ce nostalgique des allées aseptisées du pouvoir est aussi dangereux qu’incompétent : un mythomane doublé d’un pyromane. Il est évident que ce cocktail ne peut être qu’explosif pour l’unité nationale.
Ses déclarations incendiaires visent à semer le doute et la confusion au sein de la population sénégalaise afin de plonger le pays dans un chaos indescriptible ; et si le gouvernement n’y prend garde on basculera très vite dans l’anarchie et la désolation.
La loi doit sévir dans toute sa rigueur contre des agissements dont la seule finalité est de discréditer notre valeureuse armée nationale, de braquer les populations les unes contre les autres, d’instaurer un faux sentiment de persécution dans l’espoir de s’attirer la sympathie d’une frange bien ciblée de la population.
L’Etat est sommé de prendre ses responsabilités afin d’éviter à notre pays les risques qui sont attachés à l’instauration d’une ambiance de pré campagne où la méfiance et la défiance sont érigées en règles d’action politique par excellence.
Les allégations de Macky sont constitutives d’infractions pénales : Incitation à la xénophobie, désobéissance civile ainsi que celle de diffusion de fausses nouvelles dans le but d’instaurer la psychose au sein de la société sénégalaise en une période d’excitation politique exacerbée.
L’Etat à l’obligation de mettre fin aux agissements d’un homme pour qui rien ne compte que le besoin d’assouvir sa soif de vengeance mais il a surtout le devoir de rappeler à l’ordre démocratique et républicain que personne et à aucun moment ne peut se soustraire à la souveraineté de loi et au respect de la tranquillité publique.
Si la non observation de ses exigences est constitutif de délit, il faudrait, donc sans faiblir, punir le plus grand légataire (bénéficiaire) universel de l’alternance (PGLUA) : Macky Sall.
Si l’Etat pour des raisons de commodités bien compréhensibles ne s’y attelle pas, les électeurs sénégalais, dans un sursaut d'unité et de patriotisme devront sévir avec une extrême sévérité afin de ne pas laisser impuni le délit de diffusion de fausses nouvelles dont s'est rendu coupable le chef de l'APR.
Ce sera le lieu de prouver à toute la classe politique que le peuple n’est ni bête ni frappé d’amnésie.
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