LE JOURNALISTE DECADENT PAR EXCELENCE
Wax ju ñaaw dëkk’ul fa mu jëmm
fa mu joggé le ciosanno
Nous faire évader du « rêve »
Ou pire faire couler « le rêve sénégalais »
Tel est le défi à nous lancé par les tenants nouveaux
De l’"ethnicisme"et du nihilisme politiques
Distillés en catimini au sein de notre société
Par le truchement d’un pouvoir médiatique
Englué dans des causes et des combats
De caractères personnels, partisans ou sectaires.
« Sénégaal, 1 bopp’la ; kenn meun’u ko xarr 2. » :
Ce rêve est aujourd’hui de plus en plus menacé.
J’ai lu, dans un média online, une énième attaque crypto personnelle orchestrée par Mr Abdou Latif Coulibaly (soit dit en passant journaliste de son état) sur la personne de Mr Abdoulaye Wade (par ailleurs le chef de notre Etat).
Je suis choqué et outré par la constance de ces attaques, par l’intensité de l’acharnement, mais surtout par l’absolutisme systématique du comportement nihiliste affiché par cet individu vis-à-vis de tout ce qu’entreprend Mr Abdoulaye Wade.
Je me serais arrêté à cette "intime conviction" dans le silence de ma conscience et dans l'antre de mon âme si le précédemment nommé Coulibaly ne s’avisait pas à nous vendre sa rengaine (marque de fabrique personnelle) pour de "l’information politique": Prétendant obtenir ses informations à l’issue de sérieuses séquences d’investigations, d'où se targue-t- il de l’appellation journaliste d’investigation.
L’occasion m’est ainsi offerte de développer la suite de la réflexion entamée dans un article que j’avais scindé en deux parties. L'article dont il est question s’intitulait : Refuser de faire condamner le rêve au naufrage, publié dans mon blog au mois de septembre 2008http://mbackendiaye.blogspot.com/2008_09_01_archive.html
J’avais déjà attiré l’attention, dans la première partie dudit texte, sur les dangers de « l’ethnicisation lancinante de l’espace politique sénégalais », le texte de monsieur Coulibaly (Le monument de la décadence) me procure l’opportunité de développer à présent la seconde partie de cette réflexion à savoir la roublardise qui se cache derrière le nihilisme politique: la seule constante dans la décadence de la Presse dans notre pays.
Il n’est pas rare de rencontrer, au gré des hasards de la vie, des énergumènes avisés qui, spéculant sur l’ignorance de leurs contemporains, tentent de leurs présenter des « vessies » dans l’espoir qu’ils les prennent pour des « lanternes ». La mauvaise foi étant partie intégrante de la nature humaine, nous montrerons une raisonnable sollicitude à leurs égards. Seulement monsieur Coulibaly,lui, s'y prend autrement (histoire de se montrer plus " bad " que nos fameux énergumènes; il s’attache, par conséquent, à la plus difficile des tâches : celle de persuader ses compatriotes que les « lanternes » qui les éclairent à longueur de journées sont en réalité de simples et vulgaires vessies. ( Les nouvelles voies de communication; Aéroport; Port, Nouvelles villes; Monuments culturels; Infrastructures culturelles et éducatives; Prise en compte de la petite enfance; Alternance locales et municipales; Ouverture médiatique; Stratégie diplomatique fondée sur le respect et le dialogue; Initiation d’un cycle vertueux de dialogue politique intérieur; et j’en passe : selon lui tout cela n’est qu’une simple ruse du président qui agit ainsi afin de nous empêcher de nous développer et d’être des citoyens heureux, sic )
On peut légitimement avoir des raisons de ne pas porter un homme dans son cœur, cela va de soi par ce que relevant de la sphère strictement privée. Ce qui n’est pas tolérable, en revanche, c’est de considérer comme un simple dommage collatéral, donc insignifiant tout le "ressenti néfaste " de l’impact collectif d’une telle forme de journalisme (qui n’est rien d’autre qu’une querelle crypto-personnelle) sur l’ensemble la société sénégalaise. Le pire dans cette affaire c’est que le nommé Coulibaly s'évertue à dépeindre sa crise de jalousie improductive et son inconsolable frustration comme un combat patriotique mené depuis la pointe de sa plume de journaliste. Qui veut-on mener en bateau ?
En déversant sa bile régulièrement sur la personne de Mr Abdoulaye Wade et en feignant de n’agir que dans l’"intérêt national", Mr Coulibaly s’écarte du droit chemin indiqué par la si précieuse déontologie journalistique, il incarne de ce fait et si l’on en juge par les actes qu’il signe, le symbole, par excellence, d’un journalisme décadent.
Pour qui ne soucie pas de ‘‘propreté intellectuelle’’(vue la pile de "torchons" superposés à longueur de temps), c’est évidemment exagéré et illusoire d’attendre de lui qu’il assimile la notion sophistiquée et évolutive de la ‘‘propriété intellectuelle’’. Restons, malgré tout, dans les limites de l'indulgence et de la courtoisie.
Je ne connais pas, personnellement, Monsieur Eiffel mais j'ai visité, en compagnie de mon épouse et de mes enfants, la tour qu’il a conçu pour la gloire et le tiroir-caisse (prospérité)du ministère du tourisme de la France. Je vous raconte cette anecdote histoire de vous donner une idée de ce qu'une simple photo de famille, devant cet "amas de ferraille", pourrait coûter à une famille modeste telle que la mienne: ma femme et moi, gagnons moins de quatre milles euros par mois, mais nous tenions, quand même, à faire ce voyage pour réaliser un de nos rêves d'enfants : "une photo de frime" devant la célèbre "tour Eiffel": D'autres, plus politiquement correct, diront "photos de souvenirs".
Imaginons, dés lors, le même enthousiasme manifesté annuellement par des millions de visiteurs venus des quatre coins du monde ( pensez à la Diaspora Noire)et tenant à la même photo devant "le monument de la Renaissanace Africaine"; et ce ne serait pas que pour la frime! Il faut y adjoindre d'autres valeurs plus éminentes: valeurs de mémoire: affective, historique et des valeurs de défi devant l'avenir lesquelles se conjuguent avec des retombées économiques, touristiques et sociales plus qu'appréciables.
Il est donc plus que légitime que nous souhaitions, nous aussi, la même combinaison gagnante pour notre pays et tant mieux si c’est une idée du président de la république.
Et toi le chantre du journalisme décadent qu’as-tu conçu pour le rayonnement de mon pays si tant est ta préoccupation majeure ? Ah, oui pardon : la gazette.sn enregistrée, bien entendu, au nom de Mr Negatif au Superlatif Coulibaly !
Hypocrisie quand tu nous tiens!
fa mu joggé le ciosanno
Nous faire évader du « rêve »
Ou pire faire couler « le rêve sénégalais »
Tel est le défi à nous lancé par les tenants nouveaux
De l’"ethnicisme"et du nihilisme politiques
Distillés en catimini au sein de notre société
Par le truchement d’un pouvoir médiatique
Englué dans des causes et des combats
De caractères personnels, partisans ou sectaires.
« Sénégaal, 1 bopp’la ; kenn meun’u ko xarr 2. » :
Ce rêve est aujourd’hui de plus en plus menacé.
J’ai lu, dans un média online, une énième attaque crypto personnelle orchestrée par Mr Abdou Latif Coulibaly (soit dit en passant journaliste de son état) sur la personne de Mr Abdoulaye Wade (par ailleurs le chef de notre Etat).
Je suis choqué et outré par la constance de ces attaques, par l’intensité de l’acharnement, mais surtout par l’absolutisme systématique du comportement nihiliste affiché par cet individu vis-à-vis de tout ce qu’entreprend Mr Abdoulaye Wade.
Je me serais arrêté à cette "intime conviction" dans le silence de ma conscience et dans l'antre de mon âme si le précédemment nommé Coulibaly ne s’avisait pas à nous vendre sa rengaine (marque de fabrique personnelle) pour de "l’information politique": Prétendant obtenir ses informations à l’issue de sérieuses séquences d’investigations, d'où se targue-t- il de l’appellation journaliste d’investigation.
L’occasion m’est ainsi offerte de développer la suite de la réflexion entamée dans un article que j’avais scindé en deux parties. L'article dont il est question s’intitulait : Refuser de faire condamner le rêve au naufrage, publié dans mon blog au mois de septembre 2008http://mbackendiaye.blogspot.com/2008_09_01_archive.html
J’avais déjà attiré l’attention, dans la première partie dudit texte, sur les dangers de « l’ethnicisation lancinante de l’espace politique sénégalais », le texte de monsieur Coulibaly (Le monument de la décadence) me procure l’opportunité de développer à présent la seconde partie de cette réflexion à savoir la roublardise qui se cache derrière le nihilisme politique: la seule constante dans la décadence de la Presse dans notre pays.
Il n’est pas rare de rencontrer, au gré des hasards de la vie, des énergumènes avisés qui, spéculant sur l’ignorance de leurs contemporains, tentent de leurs présenter des « vessies » dans l’espoir qu’ils les prennent pour des « lanternes ». La mauvaise foi étant partie intégrante de la nature humaine, nous montrerons une raisonnable sollicitude à leurs égards. Seulement monsieur Coulibaly,lui, s'y prend autrement (histoire de se montrer plus " bad " que nos fameux énergumènes; il s’attache, par conséquent, à la plus difficile des tâches : celle de persuader ses compatriotes que les « lanternes » qui les éclairent à longueur de journées sont en réalité de simples et vulgaires vessies. ( Les nouvelles voies de communication; Aéroport; Port, Nouvelles villes; Monuments culturels; Infrastructures culturelles et éducatives; Prise en compte de la petite enfance; Alternance locales et municipales; Ouverture médiatique; Stratégie diplomatique fondée sur le respect et le dialogue; Initiation d’un cycle vertueux de dialogue politique intérieur; et j’en passe : selon lui tout cela n’est qu’une simple ruse du président qui agit ainsi afin de nous empêcher de nous développer et d’être des citoyens heureux, sic )
On peut légitimement avoir des raisons de ne pas porter un homme dans son cœur, cela va de soi par ce que relevant de la sphère strictement privée. Ce qui n’est pas tolérable, en revanche, c’est de considérer comme un simple dommage collatéral, donc insignifiant tout le "ressenti néfaste " de l’impact collectif d’une telle forme de journalisme (qui n’est rien d’autre qu’une querelle crypto-personnelle) sur l’ensemble la société sénégalaise. Le pire dans cette affaire c’est que le nommé Coulibaly s'évertue à dépeindre sa crise de jalousie improductive et son inconsolable frustration comme un combat patriotique mené depuis la pointe de sa plume de journaliste. Qui veut-on mener en bateau ?
En déversant sa bile régulièrement sur la personne de Mr Abdoulaye Wade et en feignant de n’agir que dans l’"intérêt national", Mr Coulibaly s’écarte du droit chemin indiqué par la si précieuse déontologie journalistique, il incarne de ce fait et si l’on en juge par les actes qu’il signe, le symbole, par excellence, d’un journalisme décadent.
Pour qui ne soucie pas de ‘‘propreté intellectuelle’’(vue la pile de "torchons" superposés à longueur de temps), c’est évidemment exagéré et illusoire d’attendre de lui qu’il assimile la notion sophistiquée et évolutive de la ‘‘propriété intellectuelle’’. Restons, malgré tout, dans les limites de l'indulgence et de la courtoisie.
Je ne connais pas, personnellement, Monsieur Eiffel mais j'ai visité, en compagnie de mon épouse et de mes enfants, la tour qu’il a conçu pour la gloire et le tiroir-caisse (prospérité)du ministère du tourisme de la France. Je vous raconte cette anecdote histoire de vous donner une idée de ce qu'une simple photo de famille, devant cet "amas de ferraille", pourrait coûter à une famille modeste telle que la mienne: ma femme et moi, gagnons moins de quatre milles euros par mois, mais nous tenions, quand même, à faire ce voyage pour réaliser un de nos rêves d'enfants : "une photo de frime" devant la célèbre "tour Eiffel": D'autres, plus politiquement correct, diront "photos de souvenirs".
Imaginons, dés lors, le même enthousiasme manifesté annuellement par des millions de visiteurs venus des quatre coins du monde ( pensez à la Diaspora Noire)et tenant à la même photo devant "le monument de la Renaissanace Africaine"; et ce ne serait pas que pour la frime! Il faut y adjoindre d'autres valeurs plus éminentes: valeurs de mémoire: affective, historique et des valeurs de défi devant l'avenir lesquelles se conjuguent avec des retombées économiques, touristiques et sociales plus qu'appréciables.
Il est donc plus que légitime que nous souhaitions, nous aussi, la même combinaison gagnante pour notre pays et tant mieux si c’est une idée du président de la république.
Et toi le chantre du journalisme décadent qu’as-tu conçu pour le rayonnement de mon pays si tant est ta préoccupation majeure ? Ah, oui pardon : la gazette.sn enregistrée, bien entendu, au nom de Mr Negatif au Superlatif Coulibaly !
Hypocrisie quand tu nous tiens!
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