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AFIN QU'AUTANT N'EN EMPORTE PAS LE VENT

AFIN QU' AUTANT N’EN EMPORTE PAS ……..LE VENT Par : M’backé N’diaye Je profite du droit que m’accorde ma citoyenneté africaine pour partager avec vous ces quelques réflexions sur le rôle de la diaspora africaine d’Europe dans la réalisation des objectifs d’unité, de solidarité et de développement de notre cher continent : l’Afrique. C’est une modeste contribution à l’effort général de construction de l’unité africaine et de recherches de solutions d’intégrations et d’optimisation des activités et moyens d’action des diverses forces vives du continent et de ses hommes de manière générale; qu’ils vivent à l’intérieur ou à l’extérieur du continent c'est-à-dire dans la diaspora. Les différentes rencontres, initiées par les instances de l’union africaine, avec ses différentes diasporas (Amérique, Asie, Europe) ont donné lieu à une large et profonde réflexion quand

OMBRES ET LUMIERES

OMBRES ET LUMIERES « L’âpre Chant des Rameurs » Par M’BACKE N’DIAYE « Jai demandé souvent Ecoutant la clameur D’où venait l’âpre chant Le doux chant des rameurs Un soir j’ai demandé aux jacassant corbeaux Où allait l’âpre chant, le doux chant des Bozos Ils m’ont dit que le vent messager infidèle Le déposait tout près dans l’eau Mais que l’eau désirant demeurer toujours belle Efface à chaque instant les replis de sa peau ……. » Le Chant des Rameurs Birago Diop Poète sénégalais (1906-1989). Je me suis, pour ma part, demandé souvent, à propos de Monsieur Souleymane Jules Diop, d’où lui venait l’âpre détermination qu’il met dans le combat qui l’oppose au régime libéral, actuellement en place, dans notre cher pays : le Sénégal. Je me suis demandé souvent quelle devait être la position des lecteurs, auditeurs ou téléspectateurs dans l’appréciation honnête et objective des articles (chroniques) et autres prestations médiatiques qu’il diffuse à

LA RENAISSANCE AFRICAINE OU LE TESTAMENT POLITIQUE DE MAITRE WADE

LA RENAISSANCE AFRICAINE, OU LE TESTAMENT POLITIQUE DE MAITRE WADE Par M’backé N’diaye Less waxèèss’ul Té ňéép dèggèèss ko Moo euppèèss barké Less waxèès cia kaw Té kenn déggèèss’u ko Dëgg’it (dixit) Wolof Njaay L’onde de choc provoquée par les fastes de la réception offerte par le chef de l’Etat sénégalais à son hôte le khalife général des Mourides au Palais de la République, n’a pas encore fini d’ébranler les milieux universitaires et intellectuels d’ici et d’ailleurs. De tous bords et de tous milieux confondus, les mordus de la science politique n’en finissent pas de s’arracher les cheveux et de se creuser les méninges pour se rendre intelligible ce curieux événement qui n’a pas de précédent dans l’histoire moderne de cette discipline et par conséquent focalise l’attention des passionnés de Droit, de politique et de Religion. (Aucune comparaison possible avec la visite du regretté et bien aimé khalife Sérigne Abdoul ahad M’backé) Quel sens pourrait-on donner à cet événement et comme