LA DEMOCRATIE : LE « CHEVAL DE TROIE » FLAMAND
J’ai toujours été convaincu de deux choses dont il m’est, sans ambages, loisible de vous livrer, au moins, la première : Il y’a un temps à tout ! Ce qui veut dire qu’il ne faut pas s’occuper de futilités quand la situation nationale recommande un traitement d’urgence. Et je demeure, encore aujourd’hui plus qu’autrefois, persuadé de la pertinence de cette assertion. J’en donne pour preuve les récentes joutes électorales qui viennent, à peine, délivrer une partie de leurs secrets. Une fois de plus, la réalité politique me conforte dans mes impressions et certitudes ( de petit citoyen devenu belge un peu sur le tard et, bien entendu, d’origine allochtone ). Alors que les leaders politiques francophones s’amusaient à se crêper le chignon par médias interposés au long de la campagne électorale pour nous démontrer qu’ils étaient moins aptes les uns que les autres à nous gouverner, leurs homologues flamands , quand à eux, s’occupaient au même moment à entreposer, avec la complicité de leur «